Il s’appelle Zlatan Ibrahimovic et aime parler de lui à la troisième personne. La réputation de l’attaquant du PSG, auteur d’un but d’anthologie mercredi, dépasse désormais le simple cadre des terrains.
Les statistiques ne suffisent plus pour décrire l’ampleur du phénomène. Depuis son arrivée au PSG cet été, Zlatan Ibrahimovic empile les buts, les passes décisives, les coups d’éclat et les gestes hors du commun. Son dernier exploit remonte à mercredi soir. Sous le maillot de la Suède, l’attaquant vedette du PSG a réussi un quadruplé face à l’Angleterre (victoire 4-2) avec en point d’orgue un ciseau retourné aussi génial que déjanté d’une trentaine de mètres.
Un geste fou et efficace. Exactement à l’image du personnage qui déambule depuis quelques semaines sur les terrains français, envahit les réseaux sociaux, les unes des journaux, les écrans de télé et nourrit les discussions, au café et dans les écoles. En octobre, son nom a été mentionné 8700 fois dans les médias français (source Kantar Sport), soit plus que le dernier James Bond par exemple (6900 mentions).
1,95 m, 95 kg et il chausse du 47 !En fait, Ibrahimovic, 31 ans, est un petit peu plus qu’un très grand joueur de foot. Surpuissant, talentueux à l’extrême, charismatique, il débarque de l’univers des comics, ces BD américaines qui ont enfanté les superhéros. Capable de régler le sort d’un match à lui seul, il mesure 1,95 m, pèse 95 kg, chausse du 47 et est ceinture noire de taekwondo. Quelques générations après Superman, Batman ou Spider-Man, Zlatan est le nouveau justicier des cours de recré. Il est désormais accompagné d’un nouveau vocable qui « zlatane » tout ce qui bouge.
La polémique sur le montant de son salaire au PSG, estimé à 9 M€ annuel net d’impôts, est oubliée depuis longtemps. Sa légende prendra encore une épaisseur supplémentaire à l’occasion de la sortie de la version française de son autobiographie en février (« Moi, Zlatan », aux Editions Jean-Claude Lattès). Dans la vraie vie, le principal intéressé dit ne pas ressentir ce culte naissant de la personnalité. En comparaison avec Milan et Barcelone, où il a vécu ces six dernières années, Paris serait, selon une confession qu’il a faite récemment à la presse suédoise, une ville beaucoup moins passionnée par le foot. A tel point qu’il peut même s’y promener sans être trop importuné. Dans sa bouche, il y avait de la surprise… et une pointe de déception.
Les statistiques ne suffisent plus pour décrire l’ampleur du phénomène. Depuis son arrivée au PSG cet été, Zlatan Ibrahimovic empile les buts, les passes décisives, les coups d’éclat et les gestes hors du commun. Son dernier exploit remonte à mercredi soir. Sous le maillot de la Suède, l’attaquant vedette du PSG a réussi un quadruplé face à l’Angleterre (victoire 4-2) avec en point d’orgue un ciseau retourné aussi génial que déjanté d’une trentaine de mètres.
Un geste fou et efficace. Exactement à l’image du personnage qui déambule depuis quelques semaines sur les terrains français, envahit les réseaux sociaux, les unes des journaux, les écrans de télé et nourrit les discussions, au café et dans les écoles. En octobre, son nom a été mentionné 8700 fois dans les médias français (source Kantar Sport), soit plus que le dernier James Bond par exemple (6900 mentions).
1,95 m, 95 kg et il chausse du 47 !En fait, Ibrahimovic, 31 ans, est un petit peu plus qu’un très grand joueur de foot. Surpuissant, talentueux à l’extrême, charismatique, il débarque de l’univers des comics, ces BD américaines qui ont enfanté les superhéros. Capable de régler le sort d’un match à lui seul, il mesure 1,95 m, pèse 95 kg, chausse du 47 et est ceinture noire de taekwondo. Quelques générations après Superman, Batman ou Spider-Man, Zlatan est le nouveau justicier des cours de recré. Il est désormais accompagné d’un nouveau vocable qui « zlatane » tout ce qui bouge.
La polémique sur le montant de son salaire au PSG, estimé à 9 M€ annuel net d’impôts, est oubliée depuis longtemps. Sa légende prendra encore une épaisseur supplémentaire à l’occasion de la sortie de la version française de son autobiographie en février (« Moi, Zlatan », aux Editions Jean-Claude Lattès). Dans la vraie vie, le principal intéressé dit ne pas ressentir ce culte naissant de la personnalité. En comparaison avec Milan et Barcelone, où il a vécu ces six dernières années, Paris serait, selon une confession qu’il a faite récemment à la presse suédoise, une ville beaucoup moins passionnée par le foot. A tel point qu’il peut même s’y promener sans être trop importuné. Dans sa bouche, il y avait de la surprise… et une pointe de déception.
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