Face à Troyes hier (4-0 14e journée de L1), Zlatan Ibrahimovic n'a pas raté son retour après sa suspension. Javier Pastore, titularisé après avoir été laissé sur le banc à Kiev, a lui déçu...
« Ibra remet de l’ordre ». Voilà comment L’Équipe a choisi de résumer le PSG-Troyes (4-0, 14e journée de L1) d’hier. Il faut dire qu’après deux matches de suspension en championnat, Zlatan Ibrahimovic (31 ans) n’a pas raté son retour à la compétition. Sans forcer, il s’est ainsi offert un doublé et s’est même permis le luxe de délivrer deux passes décisives. « C’est le meilleur attaquant du monde. Forcément, on est plus efficaces avec lui », a lancé Carlo Ancelotti en conférence de presse d’après-match. L’indispensable Suédois, lui, ne tire pas spécialement la couverture à lui. « On revient bien, et inscrire quatre buts, c’est un signal fort envoyé aux concurrents. On veut être forts », a-t-il glissé.
Fort, ce n’est sans doute pas l’adjectif qui qualifierait le mieux Javier Pastore hier. Titularisé après avoir été remplaçant à Kiev en Ligue des Champions mercredi, l’Argentin a traversé la première période comme un fantôme. Il a tout raté ou presque. Et même lorsqu’il a tenté de s’engager un peu plus pour décoller son étiquette de joueur nonchalant, el Flaco l’a mal fait... Résultat : l’ancien de Palerme est sorti à la mi-temps, remplacé par Nenê, passeur décisif et bien plus incisif. L’entraîneur parisien a tenté de sauver les apparences à l’issue de la rencontre.
« C’est un choix tactique. Il (Pastore) a travaillé pour l’équipe mais Nenê a la capacité d’attaquer en prenant la profondeur », a-t-il expliqué. Incapable de trouver la bonne formule pour tirer le meilleur de l’Albiceleste, Ancelotti va-t-il perdre patience ? La nervosité s’est en tout cas emparée du joueur, averti pour s’être pris le bec avec l’arbitre (15e) quelques minutes après avoir manifesté un geste d’humeur envers le public du Parc des Princes. Un match à oublier qui pose encore beaucoup de questions au sujet de Javier Pastore. Heureusement pour le PSG, il a plus de certitudes en ce qui concerne Zlatan Ibrahimovic...
« Ibra remet de l’ordre ». Voilà comment L’Équipe a choisi de résumer le PSG-Troyes (4-0, 14e journée de L1) d’hier. Il faut dire qu’après deux matches de suspension en championnat, Zlatan Ibrahimovic (31 ans) n’a pas raté son retour à la compétition. Sans forcer, il s’est ainsi offert un doublé et s’est même permis le luxe de délivrer deux passes décisives. « C’est le meilleur attaquant du monde. Forcément, on est plus efficaces avec lui », a lancé Carlo Ancelotti en conférence de presse d’après-match. L’indispensable Suédois, lui, ne tire pas spécialement la couverture à lui. « On revient bien, et inscrire quatre buts, c’est un signal fort envoyé aux concurrents. On veut être forts », a-t-il glissé.
Fort, ce n’est sans doute pas l’adjectif qui qualifierait le mieux Javier Pastore hier. Titularisé après avoir été remplaçant à Kiev en Ligue des Champions mercredi, l’Argentin a traversé la première période comme un fantôme. Il a tout raté ou presque. Et même lorsqu’il a tenté de s’engager un peu plus pour décoller son étiquette de joueur nonchalant, el Flaco l’a mal fait... Résultat : l’ancien de Palerme est sorti à la mi-temps, remplacé par Nenê, passeur décisif et bien plus incisif. L’entraîneur parisien a tenté de sauver les apparences à l’issue de la rencontre.
« C’est un choix tactique. Il (Pastore) a travaillé pour l’équipe mais Nenê a la capacité d’attaquer en prenant la profondeur », a-t-il expliqué. Incapable de trouver la bonne formule pour tirer le meilleur de l’Albiceleste, Ancelotti va-t-il perdre patience ? La nervosité s’est en tout cas emparée du joueur, averti pour s’être pris le bec avec l’arbitre (15e) quelques minutes après avoir manifesté un geste d’humeur envers le public du Parc des Princes. Un match à oublier qui pose encore beaucoup de questions au sujet de Javier Pastore. Heureusement pour le PSG, il a plus de certitudes en ce qui concerne Zlatan Ibrahimovic...
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