Le PSG s'est imposé sur la pelouse de Kiev (2-0) et valide son ticket pour les 8es de finale avant même le dernier match face à Porto.
Une victoire sans buts encaissés et une qualification pour les 8es de finale à la clé, soirée parfaite pour le PSG. Et pourtant, le club francilien était loin d’afficher une grande sérénité avant ce déplacement à Kiev. Ancelotti avait promis du changement. Sur le choix des hommes ou du schéma tactique, il n’y avait pas de révolution. Sur l’intensité mise dans les duels, pas vraiment non plus. C’est le Dynamo Kiev qui menait la manoeuvre, avec plus d’envie et de détermination. Résultat, une pression quasi-constante sur le but parisien et quelques occasions à la clé. Les Ukrainiens auraient même dû ouvrir le score sur une double action incroyable (25e). Le PSG, de son côté, s’était alors uniquement montré dangereux sur une tête à bout portant d’Alex (10e), non cadrée.
Il faut savoir gagner sans dominer, et le PSG a commencé à apprendre cette maxime en inscrivant un but au meilleur moment, juste avant la pause par Lavezzi (45e). Avec enfin une action léchée : récupération de Verratti, qui trouvait Lavezzi dans l’intervalle. L’Argentin sollicitait Ibrahimovic pour un une-deux vainqueur. Mener au score après avoir souffert, voilà qui était inespéré et signe que la soirée prenait une bonne tournure. Le malheureux Khacheridi y aidait, avec une passe trop molle pour son gardien, immédiatement exploitée par Matuidi, qui offrait un caviar pour Lavezzi (52e), auteur ainsi de ses deux premiers buts avec Paris. La suite ? Le PSG gérait sans grosses frayeurs la timide révolte des Ukrainiens, qui avaient inlassablement buté en première période sur un Sirigu de gala. Sans séduire mais en montrant une solidité retrouvée. Le principal est fait, la qualification est en poche.
L’homme du match : Ezequiel Lavezzi (7) :
l’Argentin prend enfin ses marques au PSG. Titularisé pour la 3e fois consécutive, il s’est régalé sur le front de l’attaque. Très disponible pour ses coéquipiers, il a bien combiné avec Ibrahimovic et offert quelques chevauchées bien connues du côté de Naples. S’il a semblé léger dans les contacts, s’écroulant souvent dans les duels, il n’a jamais abdiqué. Sur le premier but, il enclenche un une-deux au long cours avec Ibra pour aller crucifier le gardien d’une balle piquée. Sur le second, il suit bien l’action et profite du bon travail de Matuidi. Jusqu’à la dernière minute, il n’a pas arrêté de provoquer balle au pied. Un match référence pour l’Argentin cette saison, qui a enfin ouvert son compteur but à Paris.
Une victoire sans buts encaissés et une qualification pour les 8es de finale à la clé, soirée parfaite pour le PSG. Et pourtant, le club francilien était loin d’afficher une grande sérénité avant ce déplacement à Kiev. Ancelotti avait promis du changement. Sur le choix des hommes ou du schéma tactique, il n’y avait pas de révolution. Sur l’intensité mise dans les duels, pas vraiment non plus. C’est le Dynamo Kiev qui menait la manoeuvre, avec plus d’envie et de détermination. Résultat, une pression quasi-constante sur le but parisien et quelques occasions à la clé. Les Ukrainiens auraient même dû ouvrir le score sur une double action incroyable (25e). Le PSG, de son côté, s’était alors uniquement montré dangereux sur une tête à bout portant d’Alex (10e), non cadrée.
Il faut savoir gagner sans dominer, et le PSG a commencé à apprendre cette maxime en inscrivant un but au meilleur moment, juste avant la pause par Lavezzi (45e). Avec enfin une action léchée : récupération de Verratti, qui trouvait Lavezzi dans l’intervalle. L’Argentin sollicitait Ibrahimovic pour un une-deux vainqueur. Mener au score après avoir souffert, voilà qui était inespéré et signe que la soirée prenait une bonne tournure. Le malheureux Khacheridi y aidait, avec une passe trop molle pour son gardien, immédiatement exploitée par Matuidi, qui offrait un caviar pour Lavezzi (52e), auteur ainsi de ses deux premiers buts avec Paris. La suite ? Le PSG gérait sans grosses frayeurs la timide révolte des Ukrainiens, qui avaient inlassablement buté en première période sur un Sirigu de gala. Sans séduire mais en montrant une solidité retrouvée. Le principal est fait, la qualification est en poche.
L’homme du match : Ezequiel Lavezzi (7) :
l’Argentin prend enfin ses marques au PSG. Titularisé pour la 3e fois consécutive, il s’est régalé sur le front de l’attaque. Très disponible pour ses coéquipiers, il a bien combiné avec Ibrahimovic et offert quelques chevauchées bien connues du côté de Naples. S’il a semblé léger dans les contacts, s’écroulant souvent dans les duels, il n’a jamais abdiqué. Sur le premier but, il enclenche un une-deux au long cours avec Ibra pour aller crucifier le gardien d’une balle piquée. Sur le second, il suit bien l’action et profite du bon travail de Matuidi. Jusqu’à la dernière minute, il n’a pas arrêté de provoquer balle au pied. Un match référence pour l’Argentin cette saison, qui a enfin ouvert son compteur but à Paris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire